Soixante, pas un de plus, pas un de moins.
Ce n'est pas le nombre de chefs-d’œuvre que l'on doit à Ludwig van Beethoven, mais la quantité précise de grains de café que le compositeur allemand choisissait de moudre pour chaque tasse qu'il buvait.
Grand amateur de café, il avait adopté ce rituel notamment lorsqu'il préparait sa tasse du matin, juste avant de se mettre au travail.
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il se compliquait la vie déja de bon matin,
RépondreSupprimeret pas grave s'il y avait quelques grains en plus ...
sourire !